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ROGER SCHALL

PIERRE BOULAT

ALEXANDRA BOULAT

CLIFF CHAN

WILLIAM KLEIN

GEORGES MARTIN

DIDIER FONTAN

NICHOLAS SIMENON

HUGO DE CASTELBAJAC

BLANC & DEMILLY

ROGER SCHALL (1904-1995)

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Roger Schall (1904-1995) fait partie des photographes français qui ont profondément marqué les années 30. Né à Nancy, dans une famille de photographes, il se tourne d’abord vers le dessin et la caricature, puis dès 1918 commence à travailler avec son père. Dix ans plus tard, l’apparition du Leica et du Rolleiflex lui permet de satisfaire sa passion de l’image prise sur l’instant. En 1931, il ouvre, avec  lors les commandes de la presse s’enchaînent : photographies de mode, portraits, nus et reportages dont le succès est instantané. Le studio devient vite une véritable agence qui diffuse ses images dans les magazines du monde entier : Vu, Vogue, L’Illustration, Picture Post, Life, Paris Match… Ce ne seront pas moins de 150 couvertures et plus de 10 000 photos publiées.

En 1939, la mobilisation générale met un terme à l’activité de l’agence. Après l’armistice, Roger Schall, démobilisé et désœuvré, retrouve Paris, son sujet préféré. Il cachera soigneusement jusqu’à la Libération ses photos de Paris occupé par les Allemands. Elles seront publiées dans un ouvrage collectif qui fera date : « Paris sous la botte des nazis », édité par la maison d’édition que son frère a créée. A partir de 1947, Roger Schall se consacre à la photo de mode et de publicité. En 1969, il cède à son fils Jean-Frédéric les activités du studio et se contente de gérer ses archives.

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Nicholas Simenon est un photographe Suisse.

Diplomé de l’école Spéos à Paris en 2015 et du Fashion Institute of Technology à New-York en 2019, il vit et travaille à Genève.

Le travail de Nicholas Simenon porte principalement sur la photographie de rue en noir et blanc. Ses oeuvres traitent de la solitude et de l’isolement dans les grandes villes. Les sujets animés qu’il présente par une esthétique faite de grandes ombres profondes semblent se jouer d’un environnement architectural d’une beauté presque menaçante. Sa touche et son inventivité ont été remarquées par Leica Suisse en 2020, l’artiste ayant été sélectionné pour promouvoir la troisième génération du Leica Monochrom M10M.

Ses oeuvres ont été publiées par les éditions de la revue américaine 30 North (2019) et Prairie Margins. À la même époque, Nicholas apparait en couverture de l’édition d’automne de Gandy Dancer et participe au festival international de la photographie de Pingyao en Chine (2019). Il expose en solo à la galerie Chambre Avec Vue (Paris), et en groupe successivement à la FIT (New-York), à l’hôtel INNside et à la Bodega Gallery (San Diego) puis à la Galerie Artismagna (Paris).

Lauréat du Grand Prix Photographie de Saint-Tropez 2019 en catégorie « Jeune Talent », Nicholas collabore depuis plusieurs années avec Samsung Mobile USA dans le cadre du programme TeamGalaxy Creator. À ce titre, Nicholas obtient une bourse pour photographier les Alpes suisses.

NICHOLAS SIMENON

ALEXANDRA BOULAT (1962-2007)

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Alexandra Boulat (1962-2007) avait coutume de dire qu’elle était née dans un bain de révélateur. Après avoir commencé par des études d’art graphique et d’histoire de l’art aux Beaux Arts de Paris, elle entame, en 1989,  après 10 ans de peinture, une carrière de photojournaliste. Jusqu’en 2000 elle est représentée par l’agence Sipa Press. En 2001, elle co-fonde l’agence VII, avec 7 autres prestigieux photographes. Ses reportages de news ou magazine, ont été publiés dans les plus grands magazines de la presse internationale. Elle a couvert l’actualité, les conflits et les faits de société, mais ele a aussi réalisé de portages sur des pays ainsi qu’un livre sur Paris pour la National Geographic Society.

Elle a reçu de nombreux prix pour la qualité de son travail.

Alexandra Boulat est connue pour avoir, pendant près de vingt ans, capturé des images poignantes, de gens affectés par les conflits, et reçu de nombreu prix pour la qualité de son travail.

GEORGES MARTIN (1906-1962)

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A l’instar d’un Robert Doisneau, Willy Ronis ou Jacques-Henri Lartigue, Georges Martin, né le 3 octobre 1906 à Paris, fût durant plus de 35 ans, l’un des photographes les plus prolifiques, pour capter l’instant, les odeurs, les impressions et les mille petites choses de la vie.

Contemporain d’une époque foisonnante, d’avancées techniques et artistiques durant les années 30, il fût membre de la confédération française de la photographie.

Après l’école Boulle, il collabore avec Printz et Leleu.

Compagnon de route des frères Prévert, Paul Grimault, Jacques Fourastié…, il posséda durant de nombreuses années son propre studio, situé place Beauvau où le tout Paris artistique se rendait régulièrement.

Outre les nombreux clichés d’un Paris urbain aujourd’hui disparu, on lui doit un grand nombre de reportages pour le cinéma et la publicité (longue collaboration avec l’ »Agence FOG ») pour laquelle il réalisa plusieurs affiches de cinéma dont celle de Louis Malle, « Les amants » où l’image de deux mains qui se tenaient sur un drap froissé, fit en son temps un mini scandale.

Passionné de pêche, Georges Martin aimait dès qu’il en avait le temps retrouver son cher moulin de Griselles dans le Loiret où en compagnie de son épouse, Claude Saint Cyr, célèbre modiste des années 40 et de sa fille Christine, il accueillait le temps de quelques villégiatures campagnardes, ses amis cinéastes, photographes, peintres, décorateurs, tels qu’Yves Allégret, Marcel Bovis, Robert Giordani…

WILLIAM KLEIN

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William Klein est un artiste américain connu pour sa photographie abstraite non-conventionnelle. Né le 19 avril 1928 à New York, il étudie la peinture et travaille brièvement en tant qu’assistant de Fernand Léger à Paris. En 1954, il rencontre Alexander Liberman, directeur artistique de “Vogue”, qui le pousse à poursuivre son travail photographique naissant.  Le grain, la violence des contrastes, les compositions complexes, le décadrage, les déformations, le bougé de la photographie de presse deviennent les éléments d’une démarche volontaire. William Klein refuse l’objectivité documentaire, et s’autorise un parti pris qui efface toute distinction entre le photographe et son sujet. En employant du film ultra rapide, un grand angle et une méthode de tirages inhabituels, il est l’un de ceux qui signe l’entrée du medium photographique dans l’Art contemporain.Du milieu des années 60 jusqu’en 1980, l’artiste s’éloigne de la photographie pour se consacrer à la réalisation de films. En 2005 le Centre Pompidou inaugure une importante rétrospective de son œuvre. Après “Contacts” (2008), un recueil de ses grandes photographies revisitées par des interventions à la peinture sur des planches-contacts agrandies, William Klein se lance un nouveau défi en 2013 et photographie au numérique son “borough” d’origine, Brooklyn.

Inlassable arpenteur des trottoirs parisiens, William Klein a capté pendant plus de quarante ans l’âme de sa cité d’adoption. “Ici, pour un oui ou pour un non, et souvent pour un non d’ailleurs, les gens sortent. La ville est à eux”, s’étonne-t-il encore.

CLIFF CHAN

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Cliff Chan est un photographe français.

Diplomé en 2017 de l’Ecole Supérieure des Arts de Saint-Luc à Tournai en Belgique, il vit et travaille à Lille.

Attaché aux thématiques du corps, de la quête de soi et du temps, sa production est dotée d’une forte dimension poétique. Ses travaux actuels le mènent à des expérimentations photographiques au travers de moments de vie intimes fixés sur pellicule.

« D’un regard qui se veut chaleureux et contemporain je tente de tisser un lien entre mes sujets et une vision sensible de mon histoire particulière ».

Atteint d’une Ostéogenèse Imparfaite - une maladie génétique rare qui a marqué son corps mais surtout son mode d’existence et sa sensibilité, Cliff Chan produit des images empruntes de cette singularité. Par son oeuvre photographique, il donne un sens nouveau à cette apparente défectuosité. Comme pour marquer l’unicité de son être, c’est avant tout par le désir de capter la beauté au sein d’une imperfection que se situe sa recherche artistique.

Sélectionné en résidence d’artiste à Bruxelles (Studio Garden Verrewinkel), Cliff Chan expose régulièrement ses travaux en galerie et lors du salon Solid’art Lille.

PIERRE BOULAT (1924-1998)​

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Pierre Boulat (1924-1998) ne faisait pas de l’art, il faisait de la photographie.  Il disait toujours:  « Je suis comme le plombier, je fais mon métier de photographe ». Métier difficile, souvent ingrat qu’il faisait avec rigueur et passion. Il faisait de la photographie, tous les jours, il voyait, pensait, parlait et écrivait photographie et sa grande liberté était de photographier ce qu’il aimait. En 1940, il entre à l’Ecole Nationale de Photographie et de Cinéma d’où il sort, en 1943, major de sa promotion.  A la libération il commence son travail dans la presse parisienne et en 1957entame avec le magazine Life une collaboration qui ne cessera qu’avec la fermeture du magazine, en Décembre 1972. En 1972,  Pierre Boulat a le privilège d’être choisi par Stanley Kubrick pour réaliser toutes les photos de fond pour la première partie de son film « 2001 Odyssée de l’Espace». Après la fermeture de Life,  Pierre Boulat, collabore en free-lance avec différents magazines français et étrangers. En 1982, Pierre Boulat entame une collaboration avec Paris Match, qui va durer 10 ans et lui permettre de s’épanouir dans le domaine du grand reportage magazine en couleur. .Olivier Kaeppelin a dit de  lui : « .Sa sensibilité aux êtres et au monde lui permettait d’être immédiatement au centre de ce qu’il recevait: lumière, substance ou personnage. Comme un chaman, il était à la fois l’acteur, l’interprète et, pour finir, le créateur, ajoutant à ce qui n’était qu’un fait la dimension de sa „vue“ … Il enrichissait et approfondissait, ainsi, ce qu’il donnait à regarder ….. L’essentiel était que, sans cesse, la photo soit nouvelle. Et c’est comme cela qu’il photographiait : pour toujours être au cœur du mouvement naissant.

DIDIER FONTAN

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Après avoir été diplômé de l’IDHEC (Institut des Hautes Etudes Cinématographiques, devenue à présent La FEMIS) section réalisation et prises de vues, Didier Fontan partage ses activités professionnelles entre la réalisation de courts métrages de cinéma, de films institutionnels et publicitaires, la captation de spectacles pour la télévision et la photogra- phie d’illustration. Il a déjà réalisé cinq courts métrages primés en France et à l’étranger, un téléfilm pour M6 et deux clips musicaux. Sa passion pour le théâtre l’a conduit à en- seigner pendant douze ans à l’Ecole d’Art Dramatique Jean Périmony et à travailler avec les comédiens de la Comédie Française qui jouent régulièrement dans ses productions cinématographiques.

En parallèle de ses activités de producteur et de réalisateur, il a réalisé en tant que photographe plusieurs expositions à Londres, à Paris et à l’Ile Maurice avec l’atelier Cibachrome de Roland Dufau. En 2003 il a participé à la Nuit Blanche organisée par la Mairie de Paris avec Patrick Ecoutin (urbaniste) et Pascal Cribier (paysagiste) en présen- tant des panoramas décalés des quartiers de Paris projetés sur la façade du Pavillon de l’Arsenal. Depuis plus de trente ans il réalise des reportages au long cours sur des sujets parisiens comme le Métro de Paris, le Père Lachaise, la Petite ceinture, les Jardins du périphérique, Paris-Plage ou le Canal St Martin.

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